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Libre disposition d’un bien immobilier ou de la perception des loyers.


Lexique List

Titre
Débours

Dépenses acquittées par le notaire (ou l’avocat ou encore l’huissier) pour le compte de son client afin de rémunérer les acteurs participant à la réalisation de l’acte (conservateur des hypothèques, géomètre).

Contrat de location

Contrat par lequel on cède la jouissance d’un bien pour un temps et à un prix déterminés. Certains bails sont soumis à des conditions particulières. D’autres relèvent de la volonté des parties dans le cadre des dispositions du Code civil. Crédit immobilier : Prêt à long terme consenti pour un achat immobilier. Les taux se négocient en fonction de votre apport personnel. Plus votre apport est important, plus le taux sera intéressant.

Compromis de vente

Avant-contrat signé par le vendeur et l’acquéreur d’un bien immobilier soit sous seing privé, soit devant un professionnel. Le compromis de vente engage les deux parties et il est d’usage que l’acquéreur verse un acompte (en général 10% du prix de vente) lors de l’établissement de cet acte. Si le paiement est réalisé, partiellement ou totalement, par l’utilisation d’un prêt, l’acte doit comporter une mention précisant que si le prêt n’est pas obtenu par l’acheteur, le compromis est nul et non avenu. Cette condition est valable au moins un mois.

Cession

Passation d’un bien immobilier à titre gratuit (donation) ou onéreuse (vente).

Caution

Engagement par lequel un tiers accepte de garantir le paiement d’une dette. La caution peut être demandée dans le cas d’un crédit immobilier et dans le cas de la location : la personne qui se porte caution s’engage alors à payer le solde des sommes empruntées à la place de l’emprunteur défaillant (dans le cas d’un crédit immobilier et de loyers impayés) Loi CARREZ : la loi n° 96-1107 du 18 décembre 1996 a pour but d’améliorer la protection des acquéreurs de lots en copropriété. Elle oblige "toute promesse unilatérale de vente d’un lot ou d’une fraction de lot" à mentionner "la superficie de la partie privative de ce lot ou de cette fraction de lot" sous peine de nullité. La surface privative à prendre en compte est définie par le décret du 29 mai 1997 : elle correspond à la surface des planchers des pièces fermées et couvertes, après déduction des surfaces occupées par l’épaisseur des murs, escaliers, embrasures de portes... Il faut exclure de cette surface les planchers des pièces où la hauteur sous plafond est inférieure à 1 m 80 et la surface des caves, parkings et autres annexes au logement.

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